J-P – 5 Aces Média pour France Réinfo le 04/10/2021. Un sujet toujours d’actualité.
Demain mardi 5 Octobre sort, sur commande de “l’Eglise”, ce qui est très important à noter, et après deux ans et demi de travaux, le rapport de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise (Ciase), sous la présidence de Jean-Marc Sauvé, d’où le nom apparu dans la presse de “rapport Sauvé”.
Cette commission rendra, publiquement, lors d’une conférence de presse, son rapport à la Conférence des évêques de France (CEF) et à la Conférence des religieux et religieuses de France (Corref), qui l’avaient, je précise à nouveau, commandé, et à des représentants d’associations de victimes.
C’est un rapport qui, annexes comprises, fait finalement 2 500 pages.
Jean-Yves Leborgne : «La condamnation discutable d’un cardinal»
En préambule, et avant de recevoir les foudres des fainéants de la lecture d’articles ou des extrémistes de l’anticléricalisme, soit la majorité des républicains laïcistes, je précise que ceux qui me connaissent bien, savent à quel point je dénonce, et me bats contre la pédocriminalité, particulièrement dans cette grande et magnifique Eglise malheureusement devenue minable église œcuménique déviante, et avec quelle sincérité et intensité mes pensées vont principalement aux victimes.
Attention! Sans aucunement nier les actes odieux qui ont été perpétués, il faut aussi remettre en perspective les chiffres donnés bruts sur lesquels repose ce travail à remettre.
Il s’agit du nombre de pedocriminels dans l’église depuis 1950. Cela nous ramène donc à un taux relativement identique à celui de la population masculine “civile” – hors vie ecclésiastique donc – dans la moyenne des pays de l’OCDE dont la France, et même moins!
C’est typiquement le genre d’informations statistiques, j’ose le dire, débiles, dont on nous abreuve quotidiennement sur les ondes, à seule fin de dénigrement. Il faut bien comprendre qu’il n’y a pas plus de pédocriminels chez les religieux que dans la population masculine de la France et même des pays occidentaux! Comme disait Emile Durkheim: “La statistique est l’arme suprême du mensonge.”!
Alors oui, certes, c’est trop!
Même une seule victime est de trop!
Mais il y a actuellement en France:
- 12 054 paroisses et 104 diocèses;
- 13 775 prêtres;
- 5 200 religieux;
- 19 724 religieuses;
et selon un chercheur canadien de l’Université d’Ottawa le nombre de pédocriminels dans la population non-ecclésiale serait de 5% tandis que dans l’Eglise, sur cette période incriminée, nous sommes à un taux d’environ 3%. Il y a bien un effet loupe volontairement mis en place, une véritable manipulation.
Comment en sommes-nous arrivé là ?
Pour l’explication concernant la problématique pédocriminelle dans l’église, et ce qui y est lié en amont, l’homosexualité, sans nier le fait que l’une comme l’autre existaient aussi avant les événements décris ci-après, et sachant que le rapport ne sera publié que demain, je vous propose de poser mes propos sur les travaux précédemment diffusés, soit il y a, à peine plus d’une année. Pour débuter, vous pouvez prendre connaissance de l’article suivant, très bien écrit et parfaitement fondé, et qui rétabli quelques vérités sur une affaire récente, alors même que je ne porte dans mon cœur, ni les procureurs et leur intégrité douteuse, ni la hiérarchie de l’église comme vous l’aurez bien compris.
Il faut aussi savoir que, afin d’avoir le dossier complet en tête, de tous les cas de pédocriminalités dans l’église dont parle la presse internationale, partant toujours sur le dernier travail public en date, seuls environ 20% en seraient – ce qui serait déjà bien trop! – , et ceci, sur une période de près de 75 ans! Sur ces 20%, seuls moins de 5% sont réellement avérés.
Mais alors me direz-vous, pourquoi tant de battage médiatique? Et quid des 80%, alors?
Vous n’êtes pas sans savoir que la grande majorité des médias occidentaux sont aux mains de ceux qui nous dominent et nous manipulent, ceux dont je vais vous parler juste après; sachant cela, vous avez une grande partie de la réponse. Mais malgré tout, comment en est-on arrivé là?
Depuis sa création, l’Eglise subit des attaques redondantes, venants principalement des messianistes ne reconnaissant pas le Christ. Si au début, ces attaques furent directes et extérieures, la tactique plus insidieuse de l’infiltration en vue de la création de schismes internes fut très vite adoptée. Mgr Henri Delassus, en autres, l’explique très bien dans son œuvre littéraire.
Si le Concile Vatican 2 fut “l’équivalent de la révolution français dans l’église”, comme le dit très justement Pierre Hillard, ce lourd dossier de la pédocriminalité, bien qu’ayant toujours existé à la marge, en son sein comme dans la société “civile”, est devenu explosif dans une période très récente.
Tout remonte principalement à la seconde guerre mondiale. Hitler n’a pas fait que la chasse aux juifs, il a aussi chassé les homosexuels; les deux milieux étant étroitement liés. Hors, les milieux juifs messianiques, ceux s’étant appropriés cette religion au détriment des juifs de traditions, sincères eux, étaient parfaitement au courant de tout, je dis bien qu’ils savaient absolument tout de ce qu’il se passait, même le pire, et de leur sens, du point de vue de leur esprit tordu, de leur faculté cognitive manichéenne, ils ont vu une double opportunité:
- Se faire passer, encore une fois, pour les éternelles victimes;
- “Placer” les homosexuels au sein de l’Eglise et attendre que la graine plantée pouce.
Donc ce milieux juif a demandé la charité auprès de l’Eglise afin qu’elle prenne en son sein un maximum d’homosexuels chassés, en plus de certains des leurs prêts à – faussement – se convertir – à l’image des marranes d’Espagne – , ce qu’elle fît. Avec le temps, nombre de ceux-ci sont resté et ont été ordonnés.
Arrive le fameux concile Vatican 2, entre 1958 et 1962. Entre autres demandes, les juifs messianiques, les homosexuels faussement repentis et les franc-maçons infiltrés – grâce aux premiers nommés – insistent pour que l’Eglise reconnaisse l’homosexualité comme un état humain normal et arrête de la condamner; ce qui fut fait. De là, nombre de cardinaux, évêques, archevêques et prêtres issus de cette entrée massive de la seconde guerre mondiale, se sont vu libérés d’un secret et, est né au sein de l’Eglise, l’organisation de fines parties où ils laissèrent libre cour à leur pulsions sexuelles. Comme bon nombre de personnes de ce milieux, la recherche de chair fraîche est particulièrement bienvenue. C’est donc cela les fameux 80% de cas de “pédophilie” dénoncés médiatiquement! En fait, ce ne sont “juste” que des cas d’attouchement ou de coucherie entre jeunes adultes et cadres hiérarchiques, ou entre vieux, ou entre jeunes, car il en rentre toujours en masse, plus ou moins sous influence et qui regrettent pour certains leur geste, après coup. Et quelle meilleure accusation que cette de pédocriminel ?
Vous l’aurez donc compris, ce ne sont pas des cas de pédocriminalité mais juste des expériences homosexuelles mal vécues! Voilà une vérité non-dite! Et pourtant écrite noir sur blanc, mais qui lit ?
Encore une fois, c’est une cabale de la part des mêmes, pour tenter d’achever l’Eglise !
Mais je reviens sur le domaine de la pédocriminalité ecclésiastique et les médias ainsi ce double sujet sera complet: dans l’Eglise, presque la totalité des 46 cas français de pédocriminalité remontent aux années 1960-1970-1980 quand il y avait encore 50 000 prêtres!
9 clercs (prêtres et diacres diocésains) seraient encore incarcérés soit 0,06 % des clercs actuellement en exercice, 37 ayant purgé leur peine (toujours trop légère à mes yeux); indication venant de l’épiscopat français.
A titre de comparaison, et là ça devient intéressant, sur un chiffre moyen annuel estimé à 80 cas, il n’y a seulement qu’une moyenne de 30 radiations par an pour pédocriminalité dans l’Education Nationale! Pour les autres, il ne subissent qu’un déplacement de poste, bien souvent une mutation dans les “îles”… et encore. Ces enseignants et accompagnateurs pédocriminels sont-ils poursuivis par la justice? Oui, pour moins de 10 cas annuel. Par les médias? Jamais! Par toutes ces bonnes consciences qui harcèlent le Sénat et l’Assemblée afin de condamner l’église? …? …?
Pourquoi cette omerta?
La réponse est simple et se trouve aussi bien dans des papiers confidentiels que dans d’autres, officiels, dont l’accès est libre et dont il suffit juste de croiser les chiffres et les informations: dans près de 80% des cas, ces pédocriminels sont membres, ou du Parti Socialiste, ou du Parti Communiste, ou d’un Parti de gauche affilié, ou/et d’un syndicat. Mais surtout, 100% de ces personnes sont membres d’une loge maçonnique! Voilà où ça pique et voilà pourquoi il y a un tel silence!
Il est donc très confortable de tirer sur une ambulance que le conducteur, lui-même, Jorge Mario Bergoglio, notamment en refusant le titre papale de Vicaire du Christ, a fini de mettre en pièce! Cela permet de ne pas regarder du côté de ceux qui tirent: les politiciens, les journalistes, les juges, les professeurs, les éducateurs sociaux et sportifs, principalement.
Note 1: Toutes les sources utilisées pour refuser de garder le silence proviennent de l’Observatoire national de la protection de l’enfance, du Ministère de l’Education Nationale, du Ministère de l’Intérieur, du Ministère de la Justice, de la Conférence des Evêques de France, et de rapports internes confidentiels du Syndicat de la Magistrature et de l’obédience maçonnique du Grand Orient de France.
Note 2: concernant les membres criminels des loges maçonniques, près de 70% ont reçu les palmes académiques dont plus de la moitié après avoir été soupçonné de ces atrocités.
J-P – 5 Aces Média pour France Réinfo 04/10/2021
