Réchauffement climatique, repentance et gros sous

Même si je fais partie de ceux qui vivent le réchauffement climatique, je ne crois pas en, car là, ça n’est pas une histoire de croyance mais de réalité. Oui je vis le réchauffement climatique mais je réfute l’origine anthropique de celui-ci, nos sociétés n’ayant finalement que peu d’influences sur les éléments naturels.

Le rapport du GIEC ne prend, étrangement, quasiment pas cas de la part naturelle de cette variation climatique et ne cite jamais l’influence importante des cycles de rotations en ellipses de notre planète, mis en exergue par l’astronome austro-hongrois Milutin Milanković.
Et s’il fallait plus d’arguments encore, il n’y a qu’à lire l’audit du rapport, appelé par quelque uns des responsables du GIEC, mais qui, au vu de l’ampleur catastrophique relatée, se sont empressés de réfuter le contenu et de discréditer illico presto l’équipe chargée dudit audit;

  • tout le rapport s’appuie sur une seule base, HadCRUT4, dont les données sont mal interprétées et pas assez complètes pour une étude de long terme;
  • des moyennes de températures établies à partir d’informations quasiment inexistantes;
  • une méthodologie incohérente, au point que les mesures n’obéissent plus à des règles fiables pour les variables telles que l’heure d’été;
  • pendant deux ans, les températures au-dessus des terres de l’hémisphère sud ont été estimées à partir d’un seul site en Indonésie;
  • des ajustements abaissant artificiellement des anciennes températures et augmentant les plus récentes, donnant une impression exagérée de la vitesse du réchauffement général;
  • des mesures maritimes censées provenir de navires mais relevées par erreur jusqu’à 80 kilomètres à l’intérieur des terres;
  • une ville roumaine qui en septembre de l’année 1953 aurait connu une température moyenne mensuelle de -46°C, alors même que la moyenne de ce mois-ci fut de 10°C;
  • une île caribéenne, Saint-Kitts en l’occurrence, où la température aurait été de 0°C pendant un mois entier, et ce, sous les tropiques et à deux reprises;
  • etc.

De même, et chacun tenant son rôle, tout bon passionné d’histoire est capable de corréler les résultats obtenus dans ce rapport aux écrits existants de ces différentes époques concernées par les changements climatiques énoncés. Un délice…

Alors, à qui profite le crime ?

Taxe Carbone, Ecotaxe et autres taxes pigouviennes sont des petites taxes folkloriques présentes pour attirer l’oeil du quidam afin de lui faire croire en une volonté politique de résoudre un problème qui n’existe pas. En fait, ça n’est ni plus, ni moins, qu’un tour de passe-passe, l’argent des uns passant dans les poches des autres qui finiront de toute façon par payer la même somme par un autre biais (avec au passage, des frais de gestion, faut pas déconner non plus!); c’est donc juste un impôt supplémentaire.
Ce qui m’intéresse ici, c’est le gros poisson, c’est de vous faire tourner le regard vers là où ils ne veulent pas que vous regardiez, vers là où est le véritable enjeu, vers là où va l’argent que de tout façon vous payez aussi, d’une façon ou d’une autre, au nom du pseudo réchauffement climatique.

Euronext est une filiale de New York Stock Exchange Euronext, lui même filiale de NYSE (New York Stock Exchange), appartenant au groupe ICE (Intercontinental Exchange group. Inc.). Euronext détient le marché BlueNext, qui, lui même, gère l’EU ETS (European Union Emissions Trading Scheme), le mécanisme européen d’échange de droits d’émission, soit, le plus gros marché au monde concernant la taxation des émissions de CO2, mécanisme issu d’accords tels qu’ils ont été prévus lors des protocoles de Kyoto et de Montréal, et donc adoubés par la Commission européenne, le véritable gouvernement européen, et différents autres pays.

Euronext est dirigé par Duncan L. Niederaueur, ancien de la banque Goldman-Sachs, ancien de différentes filiales de la banque Goldman-Sachs et ancien d’ICE (Intercontiental Exchange group. Inc.). Il est membre du G100, un club “officieux” où l’on retrouve le gratin des dirigeants d’entreprises, pour beaucoup bancaires.

Le NYSE (New York Stock Exchange) est un groupe privé, propriété de ICE (Intercontinental Exchange group. Inc.), groupe basé à Atlanta et qui est la plus grosse place boursière du monde. C’est donc, lui aussi, un groupe privé et une filiale de différentes grandes banques privées et Edge Funds (Fonds d’Investissements) tels que: The Vanguard Group Inc., Blackrock Fund Advisors (1), Wellington Management Co. LLP, Capital Research & Management Co., Hendersen Global Investors Ltd., Nothern Trust Investments Inc., tous aux mains du même petit groupe de personnes.

Pour sa part, l’ICE a été créé et est dirigé par Jeffrey Craig Sprecher, un associé en affaire des banques Goldman-Sachs, Morgan Stanley et JPMorgan Chase & Co. mais il l’était aussi à Arthur Andersen & Co. (société d’audit spécialisée dans les services fiscaux et juridiques) et Enron (société gazière et de courtage d’énergie électrique). D’ailleurs, notre “cher” Jeffrey a su profiter du scandale de la faillite de la société Enron, qui à entrainée celle d’Arthur Andersen & Co., groupe qui lui auditait ses comptes maquillés, car sa société ICE à littéralement explosé à cette période. Et deuxième coup de chance incroyable, ICE a connu une belle valorisation (après une petite chute, je vous rassure) suite à la faillite boursière de la banque Lehman Brothers (2), banque qui était cotée sur la place boursière de… NYSE, et à la base de la crise boursière et économique mondiale de 2008. Non, non, je n’insinue rien et je n’ai en aucun cas parlé de délit d’initié.

Tout cela pour dire quoi ? Et bien, qu’en fait, si vous grattez un peu derrière tous ces noms de Edge Funds et de banques, vous retrouverez encore et toujours les mêmes noms qui sont, soit les propriétaires, soit les présidents, les directeurs, les vice-présidents ou les sous-directeurs, soit les principaux actionnaires ou investisseurs, de ces entités financières.
Donc, toute cette mascarade culpabilisante dont vous ne trouverez l’expiation que dans le paiement d’une taxe, et encore…, vous incitant à l’autoflagellation permanente, vous poussant à la castration de groupe afin de ne plus réchauffer la planète à cause de la surpopulation, voire vous acculant au suicide collectif, ne sert en fait que la haute finance !

Elle ne sert que ceux à qui vos dirigeants vous ont vendus en contractant des dettes qu’ils n’auraient jamais du contracter !
Elle ne sert que ceux à qui vos dirigeants ont remis les banques centrales qui à la base, sont le corps financier des pays, sont le trésor public des nations, sont la véritable souveraineté des peuples !

Trois réflexions interrogatives, vite fait, pour finir:

  • On vous pousse à rouler en voiture électrique, mais qui vous la finance ?
  • Le jour où nous roulerons tous en voiture électrique, d’après vous, comment nos gouvernements compenseront l’énorme manque à gagner sur les sommes colossales perçues actuellement grâce aux taxes sur les carburants d’origines fossiles et qui servent en grande partie à rembourser “la dette”, surtout en France ?
  • Ne pensez-vous pas que vous aurez droit à une “little very beautiful” taxe sur les voitures électriques – notamment à la recharge grâce au mignon compteur Linky – ou mieux, une taxe sur le droit de rouler ?

Mais de grâce, surtout ne faites rien, vous risqueriez de manquer le prochain épisode des Anges ch’tis dans la cuisine de Koh Lanta bien assis dans votre canapé en faux cuir acheté à crédit…

(1) Le cas de Blackrock est intéressant car cette énorme société d’investissement qui n’est pas une banque, joue ce rôle (en prêtant aussi de l’argent, notamment au gouvernement néo-nazi ukrainien soutenu par tous les membres de l’Union européenne, les membres de l’OTAN et la Suisse, entre autres) auprès de nombreux états à travers la planète et n’accepte quasiment que des investisseurs institutionnels. Basée à New York, elle est sur la place boursière de NYSE. Parmi ses actionnaires, bien cachés, vous retrouvez de nouveau toutes les grandes banques mondiales citées plus haut, et donc, derrière, les mêmes personnes. Toujours au titre des actionnaires, en plus d’y trouver la Banque Centrale de Norvège, il apparait aussi le Edge Funds (Fond d’Investissements) Apollo Global Management qui a la particularité d’être un fond de retraite de la CIA entièrement managé par des ex agents de l’Agence ! Il faut savoir que malgré sa taille fort modeste, il est présent un peu partout dans le monde et gère à ce jour tout le système bancaire Serbe… allez comprendre pourquoi (sic!). Les investisseurs institutionnels sont principalement les états ou les gros groupes mondiaux d’énergies, d’assurances et de réassurances, de finances et tout un tas d’autres organismes aux mains des états ou des grands financiers. Blackrock a aussi été un acteur clef dans le financement des campagnes électorales de Barak Obama et d’Hillary Clinton. La république française est investisseur à travers les fonds souverains, la Caisse des Dépôts, l’ERAFP, les fonds de garantie, le FPR, etc., les différentes caisses de maladie et de retraites (AGIRC, ARRCO, PREFON, COREM, etc.), les systèmes de protection sociale, etc. Il faut donc noter que le système solidaire obligatoire de retraites par répartition tant vanté par les gouvernements successifs mais en faillite permanente, est en fait placé auprès d’un système par capitalisation qui est refusé au peuple, sauf pour la part complémentaire; donc, s’il y a une solidarité, c’est bien avec les banques car ce système impose une double comptabilité et une double imposition. Pour l’anecdote, les mêmes qui par votes vous ont imposé à maintes reprises le système par répartition, se sont eux-mêmes octroyés celui par cotisation ! Ami français, si tu as l’impression d’être touché bien profondément, c’est normal !

(2) Son président Richard Fuld, qui s’est conduit de façon odieuse lors de la faillite de la banque, est actuellement au conseil d’administration de la Fondation Robin Hood, organisation caritative tentant de pallier les problèmes de pauvreté à New York, aux cotés de Lloyd Blankfein, actuel PDG de Goldman-Sachs. Au delà du fait de recevoir de l’argent du milliardaire médiatiquement philanthrope mais réellement misanthrope et narcissique Georges Soros, à hauteur d’au moins deux fois 50 millions de Dollars d’après le New York Times, cette fondation est dans la pratique un véritable outil de propagande pro démocrate.

J-P pour 5 Aces Média 03/11/2018

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