Le ministère russe de la défense dit avoir des informations sur les contacts entre les représentants de Zelensky et le Royaume-Uni sur la question de l’obtention de la technologie pour créer des “nukes”, terme anglo-saxon pour désigner une arme nucléaire tactique de type A ou H.
Selon les plans de Kiev, l’explosion d’une “bombe sale” pourrait être déguisée en opération “anormale”, soit une opération sous faux-drapeau, d’une arme nucléaire russe.
Le ministère précise que la Russie est préparée pour une telle possibilité.
Toujours ce même ministère de la défense affirme également, et en parallèle, que la libération de substances radioactives, si les forces de Kiev continuent de bombarder la centrale nucléaire de Zaporozhye, dans le sud de l’Ukraine, affecterait presque toute l’Europe.
Je ne cesserai de le répéter, là où on nous désigne les USA comme le grand méchant, et sans en minimiser la responsabilité, le mondialisme qui ne connaît aucune frontière, s’appuie plus sur les forces de l’OTAN, moins agitées par des troubles que l’armée américaine totalement scindée en deux clans, pro-mondialistes et pro-patriotes, et surtout l’Angleterre et plus précisément la City – lieu de la première banque “d’état” privée créé par une grande lignée familiale connue de tous – , tapie dans l’ombre de sa première création, ce pays-continent précité, et son entité sœur, elle aussi création saxonne, ce petit pays se voulant le maître d’une zone continue entre le Nil et l’Euphrate.
En ce sens, et en promettant à Londres la première bombe que pourrait envoyer la Russie en réplique d’une attaque, Poutine à parfaitement compris d’où venaient exactement les ordres.
J-P – 5 Aces Média pour France Réinfo 24/10/2022
